
les choses qui tuent la testostérone
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Comment et pourquoi augmenter sa testostérone ?

Testostérone : Définition, rôle et taux chez l’homme et la femme
► La testostérone est considérée comme un produit dopant dans l’univers du sport. L’effort physique continu entraîne une diminution de la testostérone. L’effet préventif sur l’ostéoporose semble être faible[63], avec, paradoxalement, un risque de fracture légèrement augmenté[64]. Il semble diminuer le risque d’infarctus du myocarde ainsi que la mortalité globale[65]. L’injection intramusculaire d’énanthate de testostérone est efficace durant deux à trois semaines[51] mais les injections peuvent être douloureuses. L’undecanoate de testostérone se fait par une injection toutes les dix semaines[52]. En implant sous-cutané, la durée d’action peut être prolongée à quatre à cinq mois après sa mise en place[53].
Il est également possible de doser la testostérone dans la salive, bien que ce test soit moins répandu. Les échantillons sont alors recueillis par simple salivation dans un flacon stérile prévu à cet effet. Il est effectué le matin, car les concentrations d’hormones varient au cours de la journée. Les dosages doivent être répétés lorsqu’une valeur anormale est mise en évidence.
Une recherche publiée en 2021 étudie les rapports existants dans les deux sexes entre testostérone et sexualité. L’expérience examine les associations entre la testostérone salivaire (Sal-T) et la fonction et le lait est-il mauvais pour la testostérone (okplant.nl) comportement sexuels. Chez les femmes, celles dont les niveaux de testostérone sont significativement plus élevés ne montrent pas de tendance à avoir davantage de partenaires sexuels, mais se masturbent davantage et ont plus fréquemment des relations homosexuelles[86],[87]. Chez l’humain, elle est responsable du développement de l’appareil génital masculin chez l’embryon, mais aussi de l’apparition d’autres caractères sexuels secondaires, notamment à la puberté. En outre, la testostérone joue un rôle-clé dans la santé et le bien-être, en particulier dans le fonctionnement sexuel. Entre autres exemples, ces effets peuvent être une énergie accrue, une augmentation de la production de cellules sanguines et une protection contre l’ostéoporose. Si elle est symbole de virilité, la testostérone influencerait aussi le désir sexuel féminin en augmentant la libido.
Cependant, ces effets sont largement controversés au sein de la communauté scientifique. Elle intervient dans la croissance osseuse et maintient la santé osseuse. Au niveau cérébral, elle pourrait stimuler les performances cognitives. Son intervention sur la masse musculaire cardiaque permettrait également de renforcer le cœur.
Contrairement à une croyance populaire, la testostérone n’est pas associée à une augmentation de l’agressivité sauf l’agressivité territoriale chez les animaux. Cependant, elle est associée à la compétition sociale et aux comportements de dominance. Elle augmente durant l’anticipation d’activités sportives et après la victoire. Elle réduit le réflexe de sursaut et l’orientation aux stimuli aversifs. Le stress chronique peut aussi contribuer à réduire les effets de la testostérone ! L’excès de cortisol (l’hormone du stress) peut interférer avec la production de testostérone et ainsi réduire la libido, affecter le stockage des graisses et altérer notre sommeil.
La consommation modérée d’alcool augmente la concentration plasmatique de sulfate de déhydroépiandrostérone (SDHEA) de 16,5 % (intervalle de confiance de 95 %, 8,0-24,9), avec des changements similaires chez les hommes et les femmes. Les changements relatifs induits par l’alcool dans la SDHEA, la testostérone et l’œstradiol sont corrélés positivement avec l’augmentation relative du cholestérol des lipoprotéines de haute densité[27]. Le but est surtout d’évaluer le risque d’hyperandrogénie, c’est-à-dire d’excès d’hormones mâles, pouvant causer des troubles des menstruations, de l’acné, de l’hirsutisme, etc. Chez la femme, les effets sur l’axe gonadotrope sont l’hirsutisme, une pilosité faciale, une voix plus rauque, une hypertrophie clitoridienne, des troubles du cycle (oligoménorrhée ou aménorrhée), atrophie mammaire et calvitie de type masculine[71]. Le risque de cancer de la prostate ne semble pas plus élevé chez la population traitée[70]. Le traitement substitutif peut élever très marginalement le taux de PSA[71].
Au stade fœtal, la testostérone joue un rôle essentiel dans la masculinisation des organes. Lors de la puberté masculine, le niveau de testostérone sécrétée par les testicules augmente. En conséquence, les caractères masculins spécifiques apparaissent, comme la pousse des poils et le développement des organes génitaux. La production de testostérone intervient également dans la maturation des spermatozoïdes, qui est la cellule reproductrice masculine appelée gamète. La testostérone contrôle la spermatogenèse, elle est donc indispensable à la fonction reproductive masculine. C’est pourquoi on nomme cette substance endocrine l’hormone de la sexualité et de la fertilité masculine. Toutefois, son rôle ne s’arrête pas là, puisqu’elle protège contre l’ostéoporose.
À l’âge adulte, la testostérone a une influence sur les comportements au quotidien. Elle peut par exemple diminuer les sensations de stress ou moduler nos réactions et nos humeurs. La testostérone serait, en effet, associée à des comportements dominants, compétiteurs, voire agressifs. Enfin, elle stimule la production de protéines et accélère le développement musculaire. Les auteurs indiquent que ces résultats aident à combler le « déficit » d’attention accordé au rôle des androgènes (testostérone et autres hormones dites « masculinisantes ») dans la sexualité des femmes. « Nos données tendent à confirmer que les différences entre les hommes et les femmes doivent être comprises en les examinant dans le contexte des influences sociales et hormonales sur la fonction et le comportement sexuels.